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Briefe

Inhaltsverzeichnis

Band 1

A105. Ferdinand an Margareta, 1524 November 1, Wien.

Text

A105.

Ferdinand an Margareta. 1524 November 1. Wien.

Regest (Deutsch)

1. Empfing Mg's Schreiben vom 5., 14. und 15. Oktober. Die Pension für die Erbeinigung mit der Schweiz. 2. Nachrichten über die Gesundheit des Kaisers. 3. Die Haltung der Engländer. 4. Keine günstigen Nachrichten aus Italien. 5. Ein Friede mit Karl von Geldern wäre jetzt von Vorteil. 6. Der Türke hat vier feste ungarische Burgen genommen, in Kroatien und an der österreichischen Grenze geplündert. 7. Bittet um Nachrichten.

Archivvermerk, Überlieferung

Lille, Arch. départ. Lettres missives, portf. 48. Original.

Druck: Familienkorrespondenz Bd. 1, Nr. 105, S. 236-237.

Transkript

1] Mme, j’ai receu troiz voz lettres toutes par une poste, assavoir des 5e, 14e et 15e d’octobre passé. Et quant à la pansion deues aux Suisses à cause de la ligue hereditaire dont desirez savoir la somme que leur pouez devoir pour vostre portion, elle monte à treize cens et cinquante florins d’or,a) parmi lesquelz seront entierement payéz jusques à la fin d’avril dernier passé. Je vous eusse envoyé avec cestes la copie de l’acquit qu’ilz m’ont fait pour la mesme cause, ainsi que m’avez, mme, mandé, mais il est à Ynsbrouck qu’est la cause que ne le vous envoye. Toutesfois s’il est besoing que l’ayez, le me pourrez mander et je l’envoierai querre pour le vous envoyer.

2] J’ai semblablement receu les lettres que m’avez envoyé, venans de l’empereur monsr, ausquelles ne fait mencion d’aucune indisposicion de sa personne, combien que puis quelques jours ença en avoie bien esté averti de Romme, mais que ce n’estoit que quelque rain de fievres quartes que n’estoit de durée, ce que dieu veulle.

3] Au regard de ce que les Anglois ne sont deliberéz de descendre jusque à ce que le sr de Bourbon ait passé la riviere du Rosne, si desia ont laissé ainsi passé la saison sans riens faire, aussi feront ilz du mesmes cest iver. Et si estes bien souvenante des lettres que parcidevant vous ai escript, concernant cest affaire, trouveres, mme, que le vous ai dit, comme il est advenir.

4] J’ai nouvelles d’Italie que ne sont gueres bonnes, comme verrez par la copie des lettres que vous envoie avec cestes, par lesquelles verrez que l’on est bien loing de passer la Rosne, dieu y vueille pourveoir, comme il est necessaire.

5] Touchant la praticque de paix, où estes presentement avec messire Charles de Gheldres, il me semble, mme, que, si elle si peult conclure, sera tres bien besoingné et, si en serez beacop alegée, car elle sera trop plus propice pour le temps qui court que la guerre, consideré qu’avez assez autre part affaire que à l’encontre de lui. De ce que s’en conclura, vous supplie, mme, m’en vouloir avertir.

6] Des nouvelles depardeça, dequoi presentement vous puis avertir, c’est que le Turc à cest esté passé prins et occuppé quatre fors chasteaulx du roi de Hungrie et en Croacie a gasté et destruit beacop de pays et, si ce n’eust esté la provision que en mes frontieres avoie fait, n’en n’eust riens moins fait des miens.

7] Ausurplus, mme, vous prie vouloir continuer à me tousiours avertir de voz bonnes nouvelles, santé et disposicion et de ma part de tout ce qui me surviendra digne ferai le semblable, en me signiffiant à la reste, s’il y a chose en quoi je vous puisse faire service, et je rendrai devoir de l’accomplir. Dieu le createur en aide, auquel je prie qui, mme, ma bonne tante, vous doint bonne vie et longue.

De Vienne, ce premier jour de novembre ao 24.

Vostreb) bon et humble nepveu Ferdinandus.

Kommentar

1] a) folgt en or.

Die hier erwähnten drei Briefe Mg’s wurden nicht vorgefunden. F hatte eben jetzt wegen seines Handels mit Waldshut und infolge der gerade damals sich zeigenden ersten Regungen des Bauernkrieges ein lebhaftes Interesse an dem Weiterbestehen der Erbeinigung mit den Eidgenossen. Vgl. Eidg. Absch. 4, 1, S. 490, 517.

2] Es ist kaum festzustellen, welcher Brief K’s hier gemeint ist. Über sein Befinden berichtet der Kaiser in Nr. A89 und zwar, daß er wieder gesund ist. — Die letzte Post aus Rom war am 31. Oktober in Wien eingelangt. Mon. Vat. Hung. 2, 1, S. 61.

3] Im Jahre 1523 hatte Heinrich VIII. ein Heer unter dem Hg von Suffolk den Kaiserlichen zu Hilfe gesandt, doch scheiterten die englischen Unternehmungen an dem Mißlingen der Pläne Bourbons. Jetzt trat Wolsey für den Frieden ein, dessen Zustandekommen auch der Papst betrieb. Über den trotzdem am 25. Mai 1524 zwischen K und England geschlossenen Vertrag vgl. Baumgarten 2, S. 357.

— Der Kaiser stimmte dann, als er Bourbon bei seinem Einfall in die Provence nicht unterstützen konnte, in die Klage über die Untreue der Engländer ein. Ebenda, S. 360.

4] Gerade damals kamen Nachrichten vom Verluste Mailands und dem Rückzüge der Kaiserlichen an den Hof F’s. Vgl. Nr. A103.

5] Es kam am 14. Juni 1524 zu Heusden zu einem einjährigen Waffenstillstand mit Karl von Geldern. Vom 1. September an sollten Beratungen über einen endgültigen Frieden stattfinden. Henne 3, S. 356.

7] a) von vostre an eigenhändig.